Heureusement tout le métal n'est pas aussi inaccessible qu'au centre du globe. J'en suis bombardé en ce moment, la toune Burning Inside de Ministry en fait foi. Et si j'écoute cette toune là, en particulier, c'est parce que mon frère est allé travailler sur son acouphène en fin de semaine, se payant un vieux rêve de retourner voir ce groupe culte en spectacle. Important est-il de mentionner que cette forme de métal, bien qu'elle soit intimement satisfaisante et remplisse un besoin bien réel*, n'est certainement pas la seule sur laquelle il travaille en ce moment.
Voyez-vous, ce vieux jeune homme est en quelque sorte un artiste du métal. Pas seulement parce qu'il en joue sur sa guitare, mais parce que sous ses doigts, le métal prend des formes de Riemann, où la géométrie Euclidienne classique perd son sens. Tout ça combiné à un culte d'ombres et de lumière donne la suite, sans autres commentaires que celui-ci: Wow!...
Golden head
Sans titre
Lanternes chinoises
Mur 2
La cage
Le moine au travail
Sans titre
Lanternes chinoises
Mur 2
La cage
Le moine au travail
* Pour les sceptiques de cette affirmation, je vous invite à regarder objectivement le film documentaire Metal: A Headbanger's Journey, réalisé par Sam Dunn, anthropologue et métallomane, qui, je l'espère, vous fera comprendre un peu mieux cette sous-culture pas si méchante... ;)
3 commentaires:
@wello: Je pense bien que les escargots, à eux seuls, valent bien un article complet, pas juste un coin de page. On s'en reparle sur MSN.
Très bien ton blog :l)
@mathieu: merci! J'ai vu que t'étais toi-même un globe-trotteur. Paris, ça ne doit pas être très drôle comme lieu d'expat... ;)
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