15 juillet 2006

Écoeuré...

épuisé...
assommé...
et ça ne fait que commencer.

Quand on empaquete les boîtes, on fait ça avec ordre et minutie. D'autant plus que j'étais seul pour la majeure partie alors tout est fait à ma façon.

Mais là, c'est le total bordel! Les déménageurs sont arrivés vers 14h30, repartis vers 18h30, il faisait 43 degrés les pauvres. Heureusement, Nancy leur avait acheté chacun deux litres de Gatorade qu'ils ont avalé dans la première heure après quoi ils se sont mis à l'eau par bouteilles. Des biscuits et du cantaloup ont aussi fait leur bonheur et vers 18h, lorsque j'ai vu qu'ils commençaient à trainer de la patte avant même d'avoir attaqué le piano, je leur ai fait des burgers qui sont disparus en un temps record.

Enfin, tout s'est bien passé, il n'y a eu que deux bris dans le lot et un tapis d'appartement sévèrement taché des centaines de pas qui l'ont foulé.

Pas eu le temps de rien faire après, trop fourbu. Au moment de coucher les enfants, j'ai cherché et cherché leurs draps pour m'apercevoir que je ne les ai pas emmenés! Je revois les dernières journées de paquetage et je sais exactement où ils sont: dans le sous-sol des parents de Nancy. Je pensais alors par mégarde avoir rangé mon fer à repasser dans une boîte que j'avais entreposée et lorsque je me suis aperçu qu'il manquait le fer, papa est allé le chercher. Zut, l'erreur, ce n'était pas le fer, c'était d'avoir entreposé toute la boîte... Zut!

À ma prochaine visite à Montréal, je pars avec deux valises: une pour moi et l'autre vide pour ramener nos draps et serviettes! Ah la la! Au moins j'ai le reste mais je répète: quel bordel!

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